lundi 28 septembre 2015

Faute de soleil, je sais mûrir dans la glace.




Réaliser. Pas trop. Seulement ce qu'il faut pour qu'on me laisse en paix avec les réalisations, de façon que je puisses, en rêvant, pour moi seul, bientôt rentrer dans l'irréel, l'irréalisable, l'indifférence à la réalisation. 
Si je trace une route, attention, j'aurais du mal à revenir à l'étendue.

mercredi 23 septembre 2015

jeudi 17 septembre 2015

mardi 15 septembre 2015

mercredi 2 septembre 2015





Il était une fois un jour, bien loin, au-delà de l’extrémité du monde et au-delà même des montagnes des sept jours, bien loin, au-delà même des 365 nuits, le premier jour qui portait au compte de l’accident la disgrâce d’être né. Mettre un terme à ce jour ce serait lui ajouter un sens qu’il n’aura même pas eu.






Le temps le plus propre pour naître n'était pas hier, n'est pas aujourd'hui. Comment serait-il demain ? La couleur c'est par saccades qu'elle grandit. Qui, après, aura encore les yeux pour voir? Il y a cela de remarquable sur la surface de la terre, à présent devenue comme une nuit et un jour, c'est que tout est en progression.